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Née en 1974, à Melun, d’un père hollandais et d’une mère française, Virginie Dekker, fille d’horticulteur élevée au milieu des fleurs, y puisera sa plus grande source d’inspiration. Elle déménage en 1987 dans le sud de la France mais le décès de sa mère va changer son destin. Elle arrête ses études et part à New York où elle découvre musées et expositions. De retour en France, elle retourne vers les chemins horticoles et, un jour, le père de Virginie décède à son tour.

Cette plaie ouverte mettra du temps à cicatriser. En 2020, suite à un burn out, elle arrête de travailler. Après quelques mois d’inactivité, Virginie achète des toiles et se met à peindre. L’exutoire thérapeutique se mue en passion et elle décide d’en faire son métier. Elle déclare : « La peinture m’a sauvée ! » La thérapie picturale a fonctionné. Ses racines bien plantées dans l’univers floral et sa renaissance quotidienne pinceau en main, ont donné à Virginie un nouveau souffle. À l’image d’une fleur à laquelle on a donné de l’eau après une longue période de sécheresse.